Le pop à l'ouverture est notre garantie.
Lundi, j'ai fait la tournée des conservatoires pour m'inscrire en chant. Le tour de Paris en métro, fort sympathique, ça m'a pris un temps fou. Sauf que comme mon programme pour la journée a changé en cours de route, je n'ai pas pu aller au conservatoire du 10ème.
Ah, le 10° arrondissement. Station Strasbourg-Saint-Denis. Bah il faut le savoir (moi je savais pas, ça m'a surpris, sur le coup), mais Strasbourg- Saint-Denis ça craint, comme quartier. En rentrant chez moi, je me suis rappelée que quand j'étais plus petite, ma maman me l'avait dit, que c'était un des quartiers chauds de Paris. Mais bêtement, j'avais oublié.
Ce qui m'a le plus frappée à Strasbourg-Saint-Denis, c'est les boutiques. Entre le métro et le conservatoire, j'ai croisé un théâtre, un Lidl (je savais même pas qu'il y en avait dans Paris - et c'est vrai que c'est vraiment pas cher, mais c'est aussi vraiment de la sous-marque), et à peu près un million de boutiques de perruques et assimilés.
Par "boutique de perruques et assimilés", j'entends ces espèces d'instituts de beauté, où ils vendent des perruques, posent des faux ongles de cinq centi- mètres de long peints de toutes les couleurs (le look tigré a l'air à la mode), des faux cils, des faux tout.
Et le plus étonnant dans tout ça, c'est les habitants de ces boutiques. Quand on regarde par les vitrines, derrière les types qui gardent l'entrée d'un regard méchant (en tout cas ils m'ont fait peur), on voit uniquement, dans toutes les boutiques, des noires en train de se faire pomponner par des asiatiques.
Pourquoi que des noires comme clientes, mystère, et pourquoi que des asiatiques comme esthéticien(ne)s, mystère. Ce quartier, au premier abord, ça fait quand même une impression curieuse.
Ah, le 10° arrondissement. Station Strasbourg-Saint-Denis. Bah il faut le savoir (moi je savais pas, ça m'a surpris, sur le coup), mais Strasbourg- Saint-Denis ça craint, comme quartier. En rentrant chez moi, je me suis rappelée que quand j'étais plus petite, ma maman me l'avait dit, que c'était un des quartiers chauds de Paris. Mais bêtement, j'avais oublié.
Ce qui m'a le plus frappée à Strasbourg-Saint-Denis, c'est les boutiques. Entre le métro et le conservatoire, j'ai croisé un théâtre, un Lidl (je savais même pas qu'il y en avait dans Paris - et c'est vrai que c'est vraiment pas cher, mais c'est aussi vraiment de la sous-marque), et à peu près un million de boutiques de perruques et assimilés.
Par "boutique de perruques et assimilés", j'entends ces espèces d'instituts de beauté, où ils vendent des perruques, posent des faux ongles de cinq centi- mètres de long peints de toutes les couleurs (le look tigré a l'air à la mode), des faux cils, des faux tout.
Et le plus étonnant dans tout ça, c'est les habitants de ces boutiques. Quand on regarde par les vitrines, derrière les types qui gardent l'entrée d'un regard méchant (en tout cas ils m'ont fait peur), on voit uniquement, dans toutes les boutiques, des noires en train de se faire pomponner par des asiatiques.
Pourquoi que des noires comme clientes, mystère, et pourquoi que des asiatiques comme esthéticien(ne)s, mystère. Ce quartier, au premier abord, ça fait quand même une impression curieuse.