Le bac, et tralalala.
Bac français, ce matin. Et ouais.
Bon, c'est pas que ça m'intéresse en soi, le bac français, mais mon frère l'a passé, du coup forcément ça sensibilise un peu, hein. D'autant que les sujets, bah ils sont pas toujours évidents.
Genre (et c'est approprié, comme terme ^^') le sujet de dissert, pour les S-ES (je ne parle que de ce que je connais), c'était :
"Dans quelle mesure la forme littéraire
peut-elle rendre l'argumentation plus efficace ?"
peut-elle rendre l'argumentation plus efficace ?"
Bon, évidemment il faut prendre en compte le fait que je suis perturbée suite à ma khâgne et aux sujets bizarres qui sont tombés, autobiographie, essai, tout ça. Mais quand même, c'est pas si évident, je trouve. Le reste, un commentaire d'un extrait de La Bruyère, ça reste classique.
En revanche, tiens, l'écriture d'invention m'a fait marrer, parce que ça reste dans la lignée politisée du moment :
"À son arrivée à la Chambre des Pairs, le narrateur, sous le coup de l'émotion, prend la parole à la tribune pour faire part de son indignation et plaider pour plus de justice sociale.
Vous rédigerez ce discours."
Vous rédigerez ce discours."
J'espère pour les petits qu'ils n'ont pas oublié le mot-clé de ce discours pour la justice sociale. La colère saine, mon ami, la colère saine.