Well, well, well.

Publié le par Pattes


LA épreuve de rigolade, aujourd'hui. Le pied, l'anglais.


Avec Blanche, on a commencé par se répéter nos mots fétiches avant le début de l'épreuve, bruise, to patter, cloak, to stalk (oui Emma, comme lui ^^). Et puis en fait, dans le texte, qu'on a eu, il y avait bruise et to patter, alors on était contentes.

Première surprise, ceci dit, c'est que c'est un texte de 2002. Soit plus récent que ce qu'on a l'habitude de voir, et d'autant plus quand les textes d'alle- mand, espagnol et italien datent au plus tard de 1947. Enfin, pas de quoi se laisser décontenancer. En revanche, l'histoire était plus curieuse. Un type, dans un café, qui veut sortir, voit dans la porte le reflet d'une tête rousse qui le suit, c'est un type qui le regarde depuis un certain temps et tente de lui parler dans une langue incompréhensible, il lui lâche la porte dans la figure mais l'autre le suit toujours, il finit par l'assomer à un coin de rue. Fin de l'extrait.

Questions, qui est ce rouquin, Carrot Head ? Qui est le narrateur ? Que lui raconte l'autre ? Comme il ne faut pas laisser de question sans réponse, jamais, j'ai essayé de chercher un résumé du bouquin. Shroud, de Banville. Après lecture du résumé, c'est pas tellement plus clair, aucune mention de Poil de Carotte, une mystérieuse jeune fille, et la couverture est bizarre. Tant pis, il faut croire que cette fois les questions resteront en l'air, parce que d'après toutes les critiques, ça ne vaut pas la peine de le lire, le Linceul. Oui, parce qu'en plus, shroud, ça veut dire linceul. Joyeux, quoi.

Banville-Shroud.jpg
Mais au moins, c'était pas du Faulkner, avec son vocabulaire pointu et son viol avec des épis de maïs (traumatisme récent dû à Mdame, qui nous a raconté l'histoire de Sanctuary). Du coup, j'ai dû inventer trois ou quatre mots, ma moyenne en somme. Et comme c'était (beaucoup) plus court que ce ) quoi on est habitués, j'ai fini au bout de trois heures. Tout bénef, quoi.


Et puis ça me laisse tout le temps pour réviser le thème pour demain. Parce que le thème, c'est une affaire sérieuse. Pas question d'improviser la concordance des temps dans une consécutive ou une conditionnelle introduites par une infinitive.

Publié dans ¡ Prépa pawaaa !

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